Un énorme malentendu entre Aurélie et moi sur le tempo de la danse dans le désert à laquelle elle m'avait gentiment convié!
Alors que les British avancent gentiment leurs Matilda (quel joli prénom!) pour entrer dans la danse, ils essuient un déluge de feu à 48 % auquel ils ne s'attendaient pas. Finis les Matilda!
Alors quand les fantassins italiens ont, dans un deuxième temps, invité les British à les suivre au plus profond du désert, ils faut comprendre que ces derniers aient hésité et demandé préalablement à leur copains artilleurs de balancer de loin quelques pruneaux en cadeau par dessus les casemates désertés, histoire de connaître un peu mieux les intentions de leurs "partenaires"...
Grand bien leur en a pris. En remerciement, les italiens envoyaient aussitôt le petit char Fiat qu'il leur restait encore, visiblement pas dans une optique de rapprochement pacifique. Il fallut d'ailleurs éliminer le belliqueux pour ne pas risquer de compromettre la fête.
Conscient du drame qui se jouait, les British envoyaient alors en infiltration une unité du génie pour tenter un rapprochement. Mais quand celle-ci pénétra dans le PC italien, la musique s'arrêta... Une grande occasion manquée... Dommage!
Le retour fut aussi entaché d'incompréhension. Alors que les Italiens fonçaient sur leur flanc droit, les Britishs s'élancaient sur leur propre flanc droit et il fallut donc du temps pour que les "partenaires" se rencontrent enfin au centre de la piste de danse, à l'instant, cette fois encore, où la musique s'éteignait... Encore dommage! Mais c'est la vie online...
Je parle, je parle, et mon adjudant va encore m'engueuler de ne pas aller plus vite à l'essentiel...
Aller : Didji (alliés) / Aurélie (Axe) : 7-3 ; 22-20
Retour : Didji (Axe) / Aurélie (Alliés) : 4-7 ; 18-28
Ne regrettons rien. Ce fut quand même une belle soirée...
Ce fut quand même une bonne soirée