Tout juste revenu de Libye pour retrouver la flotte à Dijon, je suis encore baigné du soleil de Tobrouk et figurez vous que là-bas il m'est arrivé un truc extraordinaire qui m'a laissé tout drôle : j'ai réussi à vérifier expérimentalement un vieux proverbe grec qui dispose que si les dieux ont décidé que c'était ton tour de gagner et bien tu gagnes.
C'est ainsi que, comme l'avaient décidé les dieux des cartes et des dés, c'est déroulé le match entre Brunoleloup et Grougnaffe.
Première manche :Brunoleloup (Alliés) vs Grougnaffe (Axe) / médailles 4 vs 7 / figurines 19 vs 21 / dont objectifs 0 vs 2.
Une manche façon Blitzkrieg avec des Teutons pressés d'en finir en 14 tours de manège et 21 minutes où ça pétait de partout.
Comme je vous l'avais dit plus haut, les dieux des cartes m'avaient donné la main en piquant les bonnes cartes qui auraient dû être distribuées aux Alliés et sur ce terrain là, ça ne pardonne pas.
Deuxième manche, et échange des casques lourds.Brunoleloup (Axe) vs Grougnaffe (Allés) / médailles 6 vs 7 / figurines 28 vs 23 / objectifs 0 vs 0.
Assez rapidement Brunoleloup démarre une attaque massive au centre où, de leurs abris mes unités alliées ne voyaient plus qu'une impressionnante lignée de panzers qui crachaient le feu comme des démons, mais, comme l'avance teutonne commençait à faire des ravages dans mon camp, le dieu des cartes est venu à ma rescousse en privant Brunoleloup de toute possibilité d'achever son travail de sape me permettant à la fin d'emporter la partie sur le fil.
Et pour le match nous avons donc :
Brunoleloup vs Grougnaffe / médailles 10 vs 14 / figurines 47 vs 44
Merci à Brunoleloup pour cette partie, et, ne jouons pas au blasé, merci au dieu des cartes de m'avoir largement pourvu en bonnes cartes distribuées au bon moment.